Nauru est une petite île de 21 km² éloignée du monde, située dans le Pacifique Central. Il y a vingt ans, cette île paradisiaque est devenue un enfer. C’est un prétexte parfait pour faire sa découverte.

Les merveilles de Nauru avant son effondrement

Elle est devenue une île-cauchemar pour ses habitants, elle a ses spécialités pour attirer beaucoup de voyageurs comme :

Nauru est une île-phosphate sous l’influence occidentale

Elle est aussi appelée sous le nom de “ Pleasant Island  » par le capitaine britannique John Fearn après sa découverte en 8 novembre 1798. Elle se préparait à être la plus grande mine de phosphate à ciel ouvert du monde. Ses réserves sont évaluées à 500 millions de tonnes, une vraie merveille.

La biodiversité des origines des habitants

Selon son histoire, les habitants de Nauru ont des origines micronésiennes, mélanésiennes et polynésiennes. C’est une population avec une vie paisible, loin du rythme de la mondialisation du XXIe siècle.

La plus petite île du monde

Elle ne compte que 10 000 habitants répartis sur une surface de 21 km², c’est la plus petite république de la planète. Une seule et unique route piste les contours, tout en rondeur, sur l’île.

Les causes de sa chute

Le Nauru n’est pas resté une île divine très longtemps, c’est elle-même qui a provoqué sa perte.

Un environnement dévasté

L’ancienne forêt qui abritait l’île a entièrement disparu. Et les terres sont devenues incultivables, les peuples s’approvisionnent auprès des pays voisins pour leur consommation et leur alimentation.

La disparition de la culture traditionnelle

La pêche n’est plus exercée. Les habitants ne nourrissent plus que des plats préparés par les Chinois nouvellement installés. C’est toute la vie sociale de l’île qui disparaît. Les gens ne passent leur journée qu’à regarder la télévision.

Une gouvernance désastreuse

Depuis la fin des années 1960, l’exploitation du phosphate est de moins en moins rentable, ce qui dispense les habitants de revenus subsistantiels. La corruption et l’incapacité ssont effectives à tous les niveaux. Les investissements sont ralentis pour ne pas dire inéxistants, en effet, l’installation d’une compagnie aérienne : Air Nauru est prévue.
Le voyage à Nauru est un moyen de découvrir son histoire, celle du petit paradis devenu un enfer.